Et c'est reparti !

Publié le par Pauline C

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le moment fort de ce séjour... à moins que ce ne soit la panne de voiture de Stéphane, je vous laisse découvrir tout cela, sans tabou aucun!

             
>> Au pays de Strasbourk, Grek et Paulik attendent impatiemment la re-venue de Dominik, la dernière en date commençant à dater…

Cette fois-ci, le célébrissime Rick Larey n’a pas pu se trouver un créneau dans son emploi du temps de réalisateur surchargé, nos amis devront donc compter sans…

Stéphane alias… Stéphak ( ?) sera pour sa part de la partie… mais un peu plus tard.

 

Similairement à la dernière fois, Domi arrive le vendredi soir, par voie aérienne (gardant son rang d’ami ultra génial évidemment !) Cette fois-ci, il connaît le chemin par cœur, et valide même son ticket de tram avant de rentrer, se comportant en PSP (= Petit Strasbourgeois Parfait, rien à voir avec la nouvelle console de Pierre…)  

La soupe chaude n’attend que lui, lui et son appétit d’ogre, et oui toujours le même Domi vous dis-je… Enfin, puisqu’on en parle, il s’avère finalement peut être un tout petit peu changé : légèrement moins confiant dans la politique du gouvernement que la dernière fois semble-t-il…

 

Les aventures comptées précédent, nous ont bien fatigué Greg et moi (Jordan et Lola sont partis le matin même…) et même si Domi retarde par divers stratagèmes le moment où nous partons nous coucher, il arrive bel et bien et il faut se dire « à demain ».

 

>>  Le lendemain, nous rendons visite au centre ville de Strasbourg, un vieil ami… Domi montre d’ailleurs qu’il n’est plus novice, se glorifiant d’un : « et la rue juste là, elle mène à la cathédrale… », nous scotchant nous ,qui au bout de six mois, émettions encore des doutes.

Sentant Domi un poil blasé, nous l’emmenons ainsi à la découverte de quartiers que nous ne connaissons pas ou peu, le quartier des Bateliers en fait parti.

Et puis, c’est une belle journée, c’est agréable de se promener, en plus « c’est pas un mauvais froid, mais un froid sec » mentionne Domi, participant de son mieux à cette conversation météo.  

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Domi, mon meilleur ami, by Greg, il est super ce gars, il fait 600 km rien que pour venir nous voir!

 

Direction le jardin de l’Orangerie, et la promenade dans son beau parc, un des plus grands de France, s’il vous plaît, où les nids de cigognes foisonnent !

 

Nous retournons à l’appartement, estimant que l’effort pour nos (plus ou moins) petites jambes est suffisant pour la journée, et arrivons à temps pour quelques épisodes de kaamelott (3 minutes d’épisodes alternés avec 10 minutes de pub, pas de soucis de réclame pour m6 au moins !)

Et puis, c’est au tour de Stéphane de faire vibrer notre interphone trop gâté en ce moment…

 

Ainsi, nous partons tous les 4 profiter de la grande générosité de Domi, qui nous invite au restaurent ! Pennes et Tiramisu, ah cuisine italienne en Alsace qué buenissima !

Et puis direction un bar tout près, accompagnés de Romain un copain alsacien de Stéphane, qui fourmille d’information sur la ville ! Notons que la serveuse et sa frange dégradée dégagent un charme auquel notre Domi ne résiste pas…  

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dans la vallée de danalalilala, revoilà Manau après plus de dix ans d'absence!

 

>>  Le surlendemain, nous prenons le train pour nous rendre à Sélestat, une ville au Sud de Strasbourg. C’est là que la 205 de Stéphane nous attend, frein à main serré. Elle nous mène sagement sur les hauteurs proches de Koenigsbourg et de son majestueux château.

Nous pique niquons sous les ruines d’un premier château, avant de nous rendre au château admirablement restauré par Bodo Ebhardt « un vrai architecte lui, qui ne s’est pas arrêté au bout de trois ans » dixit Domi, qui fait allusion à … vous-savez-qui. (Mais non pas Voldemort, moi ! la lecture d’Harry Potter vous a donc ravagé le cerveau à ce point)

Mais avant de continuer plus loin nos aventures… Stop, je vous arrête là chers lecteurs. Reprenons la phrase d’en haut « Nous pique niquons blablabla … » Oui là : « Nous pique niquons », dehors, tranquillement, le manteau presque ôté, nous pique niquons. Dois-je rappeler que nous sommes en février et qu’un pique-nique en février, c’est encore plus rare qu’un 29e jour en février… Bah oui ça va pas de soi et amène même à la terrible sentence qu’est « y’a pus de saison ma pauvre dame ».

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notre coin pique-nique juste avant de déballer sandwichs et ... chips

 

Bref, ne tergiversons pas un article entier sur la météo et reprenons le cours de notre visite…

Car le Haut Koenigsbourg est un sacré morceau de patrimoine !

Il se trouve à 800 mètres d’altitude, surveillant la plaine d’Alsace depuis son grès rocheux (ça me rappelle quelque chose : Montpeyroux sort de ce corps !!). Datant du Moyen-Âge comme on peut aisément s’en douter, il passe de mains en mains au cours des siècles, tantôt françaises, tantôt allemandes (c’est le caractère frontalier veut ça), avant de finir dans celles de Guillaume II au XIXe siècle grand passionné de Moyen-Âge (c’est le siècle qui veut ça !).

La ruine de l’époque acquiert ainsi sa majesté actuelle. 

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dans la salle d'armes, Greg remarque la présence d'un tournevis qui remplace tant bien que mal la pique d'une arme dangereuse...

En ce qui concerne la visite à proprement parler, il s’agit d’un parcours, où l’on passe à peu près partout (sauf dans le grand donjon au regret de Greg).

Franchissement de portes et herse, passage par la cour basse ensoleillée, montée d’un escalier, accession à un puit profond de 60 mètre,  ascension d’un escalier hélicoïdal, cheminement dans les dédales du logis seigneurial, retour au plein air dans le haut jardin, et impressions aériennes et panorama en haut du grand bastion. Telles sont les séquences de cette promenade dont on risque de se rappeler. 

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des garçons "canons" rien que pour moi !!! attention les yeux tout de même!

 

Nous mettons ensuite le cap à Ribeauvillé, encore un de ces charmants bourgs typique, même si je suis encore déçue par le caractère prononçable du lieu par n’importe quel français « de l’intérieur » (= le reste de la France pour l’Alsace Lorraine).

Retenons-en des maisons à colombage, une fanfare qui slalome dans le village et que nous n’arrivons pas à semer… Mais surtout, la présence d’un cochon (?) qui se promène en liberté dans le village… Il a certainement du s’évader du salon de l’agriculture, choqué par les injures de notre président…

 

Petite pause à Neuf-Brisach avant de ré enchaîner avec un succulent dîner à Colmar, merci Stéphane ! 

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>>  Colmar, charmante cité alsacienne, sera d’ailleurs le lieu de ballade du lendemain. Il est agréable de marcher dans ces rues plutôt calmes, comparé à l’affluence estivale ou à celle des week-ends. 

Nous nous arrêtons à la terrasse d’un café au bord de l’eau, dans ce quartier modestement appelé la petite Venise… Beauté du cadre et note « sucrée » au rendez-vous !
S'en suit une visite d'exposition sur la couleur rouge qui ne semble intéresser que moi et le poli Stéphane... 

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Quand arrive enfin le soir… Nous nous enfermons dans la cuisine avec Stéphane… pour préparer l’accompagnement d’une Pierrade digne de ce nom… des pommes de terre sautées ! Celles de Françoise sont parait-il succulentes : la barre est haute !

Pour finir en beauté, séance d’abdos devant les Simpson le film (sur petit écran !). Ca marche aussi bien que la première fois, remember Moumoune ! 

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>>  Le surlendemain est la journée « arrêt sur image », la 205 de Stéphane a un ch’tit problème passagé, nous disons donc aurevoir à notre Neuf-brisachois  à l’arrêt de bus… Pour retourner à Strasbourk, là où Domi prend un cour de cuisine !

 
16.jpgdomi sait à présent également imiter les "regards"... Greg commence à en avoir marre que je prenne des photos, à moins que ce soit la feuille de salade qui le chagrine!

>>  La dernière journée, bien que parsemée de promenade ou autres faits sans importance, peut se résumer en une bataille au jeu de cartes entre Greg, Domi et un Stéphane virtuel… Quant à moi je suis derrière les fourneaux ! (Mais non, ne plaignez pas, je préfère encore ça !)

 

Adieux déchirants… et à la diète, ça ne sera pas un luxe !   

Publié dans shared moment

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B
Ce petit compte rendu est tout à fait fidèle à la réalité, mais n'aurait-il pas fallu faire mention de la TABLE BASSE RIHANNA, qui a tout de même bien alimenté les conversations pendant 3 jours?
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